Bonjour, je m’appelle Anne Mignard et je vous invite au podcast ZNet. fr pour découvrir l’univers de la transformation digitale des petites et moyennes entreprises.
Aujourd’hui nous allons chez un professionnel de la région parisienne pour parler d’attaques informatiques. Pour des raisons de sécurité, nous ne vous donnerons pas le nom de l’entreprise ou de son dirigeant. Sachez simplement qu’il s’agit d’une ancienne entreprise et qu’elle emploie aujourd’hui une dizaine de personnes. Il faut aussi savoir qu’il existe deux types d’attaques informatiques. L’un en 2017 et l’autre en 2020. Cependant, comme nous l’a dit celui que nous appellerons M. Martin, tout le système de sécurité était déjà en place avant l’attentat.
« Ce qui s’est passé, c’est que l’entreprise a brûlé il y a plus de vingt ans, donc mon prédécesseur a perdu toutes ses données, et il a eu du mal à les récupérer, car c’est une entreprise qui a installé le logiciel qu’il a trouvé. Il a récupéré ses données extraites des données stockées dans le passé, en tout cas, il était bien renseigné sur le sujet et m’a parlé, de mon côté j’étais également au courant, après mon arrivée j’ai changé mon système informatique pour avoir mon système le plus moderne âge. et plus récemment, la clé du succès pour moi ».
Un premier ransomware
Un plan judicieux, puisque l’entreprise a été la première victime d’une attaque de ransomware. « Le 9 avril 2017, nous étions devant nos ordinateurs et en quelques secondes, nous avons trouvé un écran qui nous avertissait que tous les fichiers sur le serveur étaient cryptés, nous n’avions donc pas accès à nos fichiers. mot, photos, excel, rien du tout ».
« La rançon a été demandée avec un décompte – très dérangeant d’ailleurs. Nous fermons tout et appelons un fournisseur de services informatiques externe pour comprendre comment le faire et comment récupérer nos données de l’archive. Nous supprimons toutes les données cachées . Des fichiers mais à chaque fois qu’on fait quelque chose ça se cache à nouveau, donc on a dû effacer tous les disques durs des ordinateurs pour réinstaller toutes les données et logiciels, c’est arrivé à 10h du matin donc on a perdu notre travail entre 8h horloge du matin et dix heures. »
Pas grand chose en fait. Mais alors, monsieur Martin, a renforcé l’appareil sécuritaire. « Nous avons maintenu le système en place, nous avons renforcé les limites de la recherche sur Internet. Ce virus n’est pas venu par une recherche, ce n’est pas par l’ouverture d’un email frauduleux. C’était une attaque directe et directe ».
Des sécurités renforcées
« Qu’avons-nous fait ? Nous avons renforcé nos propos en les rendant plus complexes sur toutes les voies par lesquelles nous entrons, un résumé des recherches sur Internet et un doublement. Au lieu de les avoir une fois par jour, deux fois par jour. Cela signifie que le pire nous perd une demi-journée. de travail mais pas plus que ça. Ensuite on met à jour tous nos logiciels car c’est vraiment important pour la sécurité. Tous les anciens logiciels sont connus pour être vulnérables et s’il n’y a plus de support et qu’ils ne sont pas à nouveau mis à jour, cela est très facile à pirater. »
Malheureusement, cela ne suffit pas puisqu’en 2020, « cette situation se répète effectivement. Sauf que cette fois-ci, nous avançons très vite. La première fois, il a fallu une dizaine d’heures pour récupérer toutes les données, tous les ordinateurs et toutes les données récupérées depuis le matin, pour la deuxième fois en deux heures, il a été plié et nous avons recommencé comme si de rien n’était. »
« Depuis ce temps, nous avons modifié les moyens d’accès à Internet, c’est-à-dire que nos moyens existants ont été doublés, et nous restreignons tout ce qui arrive avec des informations, ce n’est pas le même canal, ce n’est pas la même adresse, il y a des voies que nous suivrons. mais notre but est de séparer le plus possible ce qui concerne nos activités et l’utilisation d’internet ou du téléphone. » Et depuis plus d’attentats… Heureusement pour lui, à chaque fois la perte a été un peu. la société, c’est les outils pour se protéger, 20 000 euros tous les cinq ans.Cela coûte beaucoup plus cher à M. Martin, dit-il, que la perte de données.& # xD;