Corentin rêve de créer sa propre entreprise de design d’intérieur. A 36 ans, il a toujours dit qu’à 40 ans il serait indépendant et il lui est de plus en plus difficile de travailler pour son patron, Monsieur Despotin. Il y a quelques mois, alors qu’il travaillait, il a commencé à travailler sur un plan d’affaires pour sa future entreprise, « Décoration d’intérieur ». De longues heures de travail plus tard, votre projet commence vraiment à prendre forme. Plus précisément, il a prédit qu’il aurait besoin de 30 000 € pour démarrer. Alors il demande un coup de main à ses parents.
Un objectif pas si facile à atteindre
Les parents de Corentin, ne pouvant plus entendre leur fils se plaindre de Monsieur Despotin, décident de l’aider à démarrer. Alors ils lui font un chèque de… 27 000 €. Corentin revient une fois de plus sur son business plan, mais reste formel. A 27 000 €, il serait trop dangereux de se lancer en affaires. Vous avez besoin de 30 000 €. Corentin a beau se serrer la ceinture, avec le prêt immobilier principal et ses dépenses quotidiennes, il ne peut plus mettre de côté. Heureusement, il lui reste 4 ans pour atteindre cette somme, avant ses 40 ans…
Commençons par calculer l’objectif de rendement de Corentin. Vous investissez 27 000 € et vous souhaitez récupérer hors taxes 30 000 € en 4 ans. Par conséquent, vous devez trouver un placement qui vous rapporte 2,7 % d’intérêts (composés) chaque année. Corentin va voir les banques mais elles ne trouvent personne qui puisse lui garantir un net de 2,7% pendant 4 ans.
Corentin a un profil équilibré. D’une part, il souhaite limiter les risques sur ce capital transmis par ses parents et qu’il doit affecter à la création de son entreprise. Il ne veut pas investir en bourse, risquer de perdre et ne jamais pouvoir démarrer son entreprise, et travailler toute sa vie pour Despotin.
Par contre, vous avez bien compris que si vous placez votre capital sans risque, vous n’obtiendrez pas plus de 1,5% par an et il vous faudra attendre plus de 8 ans pour atteindre votre objectif. Et vous ne voulez pas attendre d’avoir 50 ans pour devenir entrepreneur…
Par conséquent, vous êtes prêt à accepter un risque modéré pour atteindre votre objectif.
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Comment viser 10% sur 4 ans sans prendre trop de risque ?
Si vous souhaitez investir aujourd’hui et récupérer votre capital dans 2, 3 ou 4 ans, certains investissements ne vous semblent pas du tout adaptés. Les investissements immobiliers sont à proscrire, avec des coûts d’acquisition supérieurs à 7-8%, tandis qu’en actions il est conseillé d’avoir un horizon temporel supérieur à 5 ans pour ne pas être piégé dans un krach boursier ou un changement de tendance.
Ce qui reste? Les placements à court terme (livrets, comptes à terme…) ne permettront pas à Corentin d’atteindre son objectif de rentabilité.
L’assurance-vie, quant à elle, est parfaitement adaptée à un horizon de placement de 4 ans. Contrairement aux idées reçues, l’assurance-vie n’est pas verrouillée. Il est possible de faire un retrait à tout moment. Bien entendu, si vous conservez le contrat de longue durée (minimum 8 ans), vous bénéficierez d’une faible fiscalité (mais vous continuerez à payer des cotisations sociales de 17,2 %), tandis que si vous vous retirez avant 8 ans, vous paierez la 30e %. taxe fixe. Mais c’est la même fiscalité qu’un placement dans un livret d’épargne non réglementé, un compte à terme ou un PEL.
En plus d’un bon fonds en euros qui rapporte toujours plus de 1% par an, Corentin pourra investir dans des participations Pierre Papier (SCI). Bien qu’il s’agisse d’un investissement immobilier, il n’est pas sans risques. La valeur des SCI peut diminuer. C’est pourquoi il est déconseillé de dépasser 50% de la dotation dans ce type d’investissement. Avec 50% du fonds en euros (objectif de rendement de 2% par an net de frais de gestion mais avant impôts) et 50% SCI (5%* par an), Corentin peut viser un rendement de 3,5% en 4 ans , soit 14,75 % des gains bruts de la période et 10,3 % nets après application de l’UFP de 30 %.
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La SCI, l’investissement immobilier sans les frais
A court-moyen terme, il existe une solution qui vous permettra d’obtenir un bon rendement net de frais sans prendre trop de risque : la SCI (Sociedad Civil Inmobiliaria). Plus connue comme outil facilitant la gestion d’un bien immobilier entre plusieurs personnes (SCI familiale notamment), la SCI peut également prendre la forme d’une unité de compte au sein d’un contrat d’assurance-vie. Il est alors géré par une société de gestion qui va accumuler des actifs et capitaliser les revenus locatifs. L’investissement peut prendre diverses formes : immobilier physique, mais aussi SCPI, sociétés immobilières cotées ou fonds immobiliers
Par rapport aux SCPI, les SCI facturent moins de frais : nombreux sont les véhicules qui facturent « seulement » 2% de droit d’entrée, voire 0% pour les plus abordables ! Pourtant, les rendements offerts par ce type de produit ont été assez bons ces dernières années : autour de 4-5%*. Avec un tel rendement annuel, les frais d’entrée en assurance-vie sont rentables sur 6 mois. Sur un an, le rendement est supérieur à de nombreux fonds en euros, alors que sur 5 ans, il n’y a pas de honte à avoir le rendement des fonds actions.
A l’heure où les fonds en euros rapportent de moins en moins et de moins en moins accessibles, où les OPCVM semblent de plus en plus risqués et où les SCPI ne se voient que sur le long terme, les SCI offrent un support efficace et assez sûr à court et moyen terme. solution à terme.
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Communication non contractuelle à des fins publicitaires
* Rendement net des frais de gestion en unités de compte, mais hors frais de gestion du contrat et hors taxes.
Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. L’objectif de performance n’est pas garanti
Les parts de SCI sont des véhicules d’investissement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être achetées dans une optique de diversification de votre patrimoine. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.
Comme tout investissement, l’immobilier présente des risques :
– La baisse de la valeur de l’investissement. Le capital investi dans une SCI n’est pas garanti. La valeur des parts d’une SCI évolue dans le temps, étroitement liée à l’état de la situation immobilière de la société. Cette situation suit des cycles successifs, avec des phases ascendantes et descendantes.
– Liquidité. La SCI n’étant pas un produit coté, sa liquidité est moindre par rapport aux actifs financiers. Ainsi, les conditions de vente (modalités, prix) peuvent varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d’entreprise et du marché des parts de SCI.