Après la flambée des prix, l’activité rennaise se calme. Et dans cette ville historique, la mise en place du Nouveau Diagnostic d’Efficacité Energétique (DPE) est un sujet de préoccupation.
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On note un léger ralentissement des ventes, notamment d’appartements, dans le quartier le plus coté de Rennes, mais le premier semestre est « encore très actif, selon Benjamin Guerrot de LFI Center. Les maisons se vendent un peu plus longtemps mais se vendent très bien avec peu de négociation. La hausse des taux n’est pas un problème pour le moment. Les primo-accédants sont peu nombreux dans le centre-ville, et là encore, pour répondre à la demande, la municipalité a mis en place un certain nombre de mesures pour faciliter l’accès des jeunes au logement. Le nouveau DPE reste le plus problématique. Situation difficile dans une ville pleine de bâtiments anciens et/ou historiques ». Et les prix ? Ils sont toujours grands. « Par exemple, les 145 m2 boulevard de la Liberté des années 1960 avec sous-sol et grenier ont été vendus 600 000 euros. »
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