par CH
– Publié le 15 novembre 2022 à 15h50
Le ski
L’exercice est nécessaire pour rester en bonne santé. Mais est-ce aussi bon pour la planète ? Certaines disciplines, parfois très surprenantes, ne sont pas toujours bonnes pour l’environnement. Les fédérations mettent en place des actions pour limiter leur impact. Vue d’ensemble.
Le sport automobile
De nombreux sports sont super bons pour l’environnement. Course à pied, randonnée, footing, natation pratiqués dans un espace naturel… Mais connaissez-vous les sports qui pourraient encore être meilleurs pour l’environnement ? Récapitulatif des sports les moins écologiques et de ce que les fédérations mettent en place pour limiter leur empreinte carbone.
Le golf
Qui n’a jamais rêvé de passer toutes ses vacances d’hiver à la montagne ? Respirez l’air pur, profitez des paysages et… passez vos journées sur les pistes de ski. Mais cette discipline est assez néfaste d’un point de vue écologique. La faute aux nombreuses infrastructures construites à flanc de montagne, aux canons à neige et à l’électricité nécessaire au fonctionnement des remontées mécaniques. Pour limiter cet impact, les stations de ski deviennent plus éco-responsables. La réduction des dépenses énergétiques, une meilleure gestion des déchets ou encore la protection de la biodiversité sont des leviers activables pour rendre le ski moins polluant. Mais l’écologie passe aussi par le comportement de chacun. Selon une étude, les touristes de montagne sont aussi parmi les moins respectueux de l’environnement. Les skieurs doivent aussi changer leur comportement.
La natation
La course automobile n’est pas non plus un exemple d’écologie. Le carburant utilisé pour faire rouler les voitures, voyager en avion aux quatre coins du monde, et les infrastructures nécessaires sont autant de facteurs de pollution. Cependant, ici aussi les lignes bougent. En particulier, le sport automobile d’aujourd’hui permet de tester les nouvelles technologies qui feront les voitures de demain. Les énergies thermique et électrique sont au centre des développements, avec pour objectif que les voitures aillent plus vite et plus loin avec moins de carburant. A noter qu’en moins de 10 ans, la Formule 1 a divisé par deux sa consommation, passant de 90 litres aux 100 km aux 45 litres actuels.