lui
Comment se porte aujourd’hui l’activité des réseaux de mandataires en France ?
lundi 3 octobre 2022
|
Comment expliquez-vous un tel succès ?
Contenu sponsorisé – Réseau d’agents
Alors que la dynamique des réseaux d’agents n’est plus à prouver et que leur nombre a décuplé en seulement huit ans, les besoins des professionnels qui ont choisi ce modèle vertueux ont profondément évolué. Le point sur les nouvelles attentes de ces agents « nouvelle génération » avec Brice Bonato, co-fondateur de la société Sextant France & International.
Le modèle a su s’imposer au fil des années, notamment en termes de parts de marché. En 2014, il y avait 5 000 agents pour une population de 130 000 agents immobiliers. D’ici fin 2022, la profession comptera plus de 50 000 agents.
Cela s’explique, d’une part, par le transfert des agents immobiliers dits traditionnels vers les réseaux d’agents et, d’autre part, par la forte capacité des réseaux à former de nouveaux entrants. Cette transformation va s’accélérer et certaines études prédisent même que dans quelques quartiers, 50% des ventes intermédiaires seront réalisées par des agents.
Tous les réseaux de mandataires fonctionnent-ils de la même façon ?
En 2022, malgré la légère baisse du volume des transactions, la part de marché des réseaux d’agents continuera de croître, renforçant encore l’attractivité du modèle.
Tout d’abord, parce que la structure d’un réseau d’agents, tant financiers qu’opérationnels, permet bien plus d’agilité qu’un modèle d’agences physiques, alourdi par des coûts fixes et des lieux et un fonctionnement bien plus rigide.
Quels sont les nouveaux besoins des mandataires immobiliers expérimentés ?
D’autre part, parce que le rapport au travail a beaucoup changé. Aujourd’hui, les gens recherchent l’autonomie et la liberté d’action. Un mandat est véritablement indépendant, libre de ses mouvements et de son agenda pour gérer plus facilement son équilibre travail-vie personnelle.
L’immobilier est un métier qui se pratique localement, à proximité de chez soi, donc propice à relever ces défis. Et c’est aussi sur cette capacité à offrir un environnement de travail performant en « home office » que nous nous différencions.
Chez Sextant, nous sommes constamment à l’affût pour mettre les meilleures technologies à la disposition de nos conseillers, pour leur permettre de faciliter leur travail à domicile et de se démarquer de la concurrence.
Dix ans après son apparition sur le marché immobilier, ce modèle a atteint sa maturité. Il existe un modèle original et assez standardisé chez les plus gros acteurs, basé sur un recrutement massif et décentralisé de profils de reprise, qui a de fait tiré le marché, mais qui est aujourd’hui confronté à des problèmes de taille et de croissance qui génèrent une insatisfaction grandissante chez les agents expérimentés. .
La force de leur expérience, leurs besoins et leurs besoins ont beaucoup évolué et ils se tournent désormais vers des réseaux plus spécialisés, organisés différemment et offrant de nouvelles perspectives. C’est le choix que nous avons fait depuis quelques années.
La surreprésentation d’une marque dans un secteur est un des points critiques pour les professionnels qui nous appellent pour faire évoluer le réseau.
Peut-être d’un développement trop rapide, certains réseaux ont en effet laissé des équipes trop importantes pour s’installer dans un même secteur, créant ainsi une concurrence interne génératrice de conflits, la difficulté à maîtriser l’image de la marque locale vis-à-vis des clients et la risque de moindre. potentiel de revenu pour chaque conseil.
Aujourd’hui, un professionnel qui rejoint un réseau doit être rassuré qu’il y a un développement maîtrisé de son secteur, et qu’il saura dire sa façon de le développer et de constituer les équipes.
Chez Sextant, nous avons opté pour une approche de type « numerus clausus », et nous accordons beaucoup d’attention au développement de chaque secteur. Notre leitmotiv est de ne pas surcharger les zones géographiques et surtout d’impliquer des professionnels dans chaque recrutement, pour éviter le parachutage de profils de reprise pas parfaitement formés et intégrés dans les équipes locales.