La neutralité carbone d’ici 2050 est l’objectif de la France. Passer aux véhicules électriques semble être une bonne solution pour se déplacer. Cependant, tous les véhicules électriques ne sont pas avantageux. Malgré tout, ils sont toujours moins chers et moins polluants à l’usage que les radiateurs. C’est du moins ce qu’affirme l’Ademe.
La France compte une quarantaine de millions de voitures dont 1,5 % sont électrifiées. Cela représente 620 000 véhicules. Les voitures électriques séduisent de plus en plus les consommateurs pour une seule raison : l’économie. Il est vrai que ces voitures sont plus chères que les voitures diesel ou essence. Cependant, cette méthode a été modifiée en cours de route. Un parc électrique pèse moins lourd sur la facture énergétique des charges domestiques. La dette carbone associée à la fabrication de la batterie est également réduite rapidement après une période d’utilisation. Cette partie de l’environnement est importante pour la France qui souhaite éliminer les pollutions liées aux transports.
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Les citadines en tête des ventes
Tous les véhicules électriques ne dominent pas les ventes. La tendance est aux petites voitures. Bertrand-Olivier Ducreux, expert, le confirme :
Une citadine électrique est parfaite pour les trajets quotidiens. Ceux qui ont une borne de recharge privée pourront voir une nette différence par rapport aux voitures chauffées. Si ce dernier consomme 30 euros pour 300 kilomètres, les voitures électriques ne coûtent que 10 euros. En revanche, la lettre vaut 40 euros en borne de recharge rapide.
L’assurance est importante lors de l’achat d’une nouvelle voiture.
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Cependant, l’Ademe souligne que l’utilisation de l’électricité ne suffit pas pour atteindre l’objectif de neutralité carbone.
L’Agence de la transition écologique recommande quelques solutions de déplacement :
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L’aspect écologique des voitures électriques
Fabriquer une voiture demande de l’énergie et produit donc de la pollution. Les véhicules électriques à batterie ont une énorme dette environnementale à payer. David Marchal, qui a participé à l’étude de l’Ademe, rapporte que cette dette a été résolue sur plus de 15 000 kilomètres pour les citadins. D’un autre côté, les SUV prennent au moins 100 000 miles pour rembourser leur dette. C’est le minimum pour que ces véhicules émettent moins d’eau que les thermiques à toutes les étapes de leur vie. Bref, l’empreinte carbone d’une voiture électrique est deux à trois fois celle d’une voiture du même type.
La différence d’impact environnemental est évidente dans les petits véhicules électriques avec une puissance raisonnable. Il s’agit notamment de la Peugeot e-208, de la Renault ZOE et de la Fiat 500, qui n’économiseront pas plus de 60 kilowattheures. Leur distance moyenne est de 450 kilomètres, en revanche les résultats environnementaux ne sont pas aussi garantis pour des SUV comme la Porsche Taycan et la Ford Mustang Mach-E.