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La souscription à un contrat de prévoyance complémentaire permet de compléter la couverture de l’Assurance maladie pour de nombreux accidents de la vie : décès, hospitalisation, incapacité de travail, invalidité, perte d’autonomie, etc.

La prévoyance des Français est trop faible

mis en ligne le : 13/10/2022 09 : 00 & # xD ;

Le constat est clair : les Français ne se protègent pas suffisamment des aléas de la vie. Selon l’Observatoire de l’Imprévoyance VYV-Ipsos, l’équivalent de 12 milliards d’euros devrait être versé annuellement aux Français (chiffre 2020), mais ils ne le sont pas. La raison : des retraites complémentaires insuffisantes voire inexistantes.

Pourquoi les Français ne se protègent-ils pas assez ? Pour deux raisons principales :

Les salariés d’entreprise ne sont pas tous couverts par une prévoyance

Ni la sécurité sociale ni l’assurance-maladie complémentaire ne peuvent pleinement maintenir les revenus de la famille après un coup dur.

Le régime de retraite est obligatoire pour tous les cadres, quelle que soit la taille de l’entreprise. Pour les non-cadres, la mise en place d’un accord de retraite dépend de la convention collective de branche. Si un tel accord existe, les employeurs du secteur d’activité concerné doivent conclure une convention collective de retraite.

Indemnités journalières de la Sécurité sociale : quelles limites ?

Aujourd’hui plus de 200 conventions collectives prévoient l’obligation pour les entreprises de signer cet accord. Mais seules 85% des entreprises de moins de 500 salariés proposent une couverture sociale*.

L’affiliation au régime général de la sécurité sociale permet de percevoir des indemnités journalières en cas d’arrêt de travail (maladie, maternité, accident). Cependant, ces allocations ont deux « défauts » principaux :

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D’où l’importance de souscrire une assurance complémentaire.

Comment améliorer la prise en charge des aléas de la vie ?

Les Français se sentent souvent complètement protégés des aléas de la vie par leur alimentation de base. En fait, c’est rarement le cas.

Le principe de la pension est de compenser la perte de revenus due à un événement imprévu : décès, invalidité, incapacité de travail, perte d’autonomie, accident, frais d’hospitalisation, etc. En effet, ces pertes de revenus peuvent être préjudiciables à la personne elle-même. Ils sont aussi pour ceux qui l’entourent. Dans certains cas, par exemple, il devient difficile de payer un loyer ou de financer les études de vos enfants. Le contrat de retraite complémentaire vous permet de maintenir votre niveau de vie dans ces circonstances douloureuses. Cette compensation peut être de quatre types différents :

En cas d’incapacité de travail, elles complètent les indemnités versées par le régime obligatoire (qui ne correspondent qu’à la moitié du salaire, limité à 1,8 Smic), pendant 3 ans maximum. Le montant des indemnités journalières de retraite complémentaire versées en cas d’invalidité varie selon le montant que vous choisissez, en fonction de votre salaire. Des indemnités journalières peuvent également être versées en cas d’hospitalisation. Ils viennent alors s’ajouter à la couverture du régime obligatoire.

En cas d’invalidité, une rente ou pension d’invalidité compense la perte de revenus. Elle s’ajoute à la pension d’invalidité servie par le régime obligatoire, le cas échéant, avec une couverture pouvant durer jusqu’à la retraite. En cas de décès, une rente peut être versée au conjoint survivant. Il peut également s’agir d’une pension « éducative » pour les enfants survivants du défunt (pour financer leurs études), selon les conditions du contrat de sécurité sociale. Une rente peut également être attribuée en cas de perte d’autonomie. Le taux de versement de ces rentes peut être mensuel ou trimestriel selon les contrats.

En cas de décès, un capital est versé au bénéficiaire désigné contractuellement, selon le choix effectué lors de la signature du contrat. Ce capital est exonéré de droits de succession et soumis à la fiscalité avantageuse de l’assurance-vie.

Un contrat de prévoyance peut également comporter une garantie destinée à couvrir tout ou partie des frais engagés en cas d’urgence. C’est le cas par exemple des frais funéraires du souscripteur ou des frais engagés pour des travaux visant à améliorer l’accessibilité du logement en cas de perte d’autonomie.

* Source : Enquête ADEIS / CSA, décembre 2018