Nous avons dégusté des udon Kunitoraya dans un décor grandiose du Paris des années 1900, au cœur du quartier Sainte-Anne : carreaux de métro, barres de zinc et vieille horloge au mur. Mais la carte – également recommandée par le Guide Michelin – ne déroge pas à son identité 100% japonaise : nouilles chaudes ou froides, donburi et tapas, assez simples, à l’exception de plats extravagants comme les huîtres udon, champignons et truffes noires. .
Kunitoraya, 1 rue Villedo, Paris 1er.
Les plus généreuses en choix de recettes : Udon Jubey
Une vingtaine de possibilités d’udon aux ingrédients variés et originaux : chips de lotus, chrysanthème, gingembre, roquette… Udon Jubey, petit restaurant au cœur du quartier japonais de Paris, offre la promesse d’une expérience riche en découvertes. Les nouilles sont un incontournable, en dessert, avec le doriyaki, une délicieuse crêpe garnie de yuzu ou de pâte de haricots rouges.
Udon Jubey, 39 Rue Sainte-Anne, Paris 1er.
Les plus « fusion » : Papi
Pas de donburi, d’omelette japonaise ou de mochi à la carte de chez Papi. Il s’agit bien d’un restaurant italien : pizzas, pâtes, panna cotta… Mais si vous regardez bien, vous pourrez déceler ici et là des touches japonaises. Le chef, Akira Sugiura, est en fait japonais. Gnocchis au panko (chapelure japonaise), tiramisu au kinako (farine de soja) ; et surtout, le fou cacio e pepe udon qui a fait la renommée de ce restaurant lors de sa fermeture pendant le confinement mais proposait la recette sous forme de kit.