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L’écriture 
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il y a 21 heures

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Amzer-lenn / Temps de lecture : 2 min
Le 7 octobre, Mgr. Raymond Centène, évêque de Vannes, proclame le décret de reconnaissance canonique de la basilique Notre-Dame du Roncier, à Josselin, comme sanctuaire diocésain. Mais que signifie exactement cette distinction, que ce soit pour la paroisse, pour ses fidèles ou même pour l’Église ? Eléments de réponse avec le père Jérôme Sécher, recteur de la basilique.
Élever une paroisse au titre de sanctuaire diocésain, qu’est-ce que cela signifie selon vous ?
Il s’agit simplement d’une reconnaissance officielle du caractère particulier de cette paroisse. C’est aussi lui donner une plus grande visibilité. Si on parle de Notre-Dame du Roncier, je précise qu’elle a plus de douze siècles d’existence, mais son influence, sans doute, s’est estompée avec le temps. En lui accordant ce nouveau statut, il devient en quelque sorte plus perceptible, plus lisible.
L’idée est de renforcer son caractère d’échelle spirituelle, d’en faire une sorte d’oasis particulière pour ceux qui veulent trouver du réconfort, pour les pèlerins en chemin, avec le souci permanent d’accueillir la miséricorde et l’enseignement des écritures
COMMUNION DES SAINTS… A VANNES : Hélène-Marie-Philippine de CHAPPOTIN de NEUVILLE
Et vous cherchez un lieu et une fraternité religieuse pour remplir cette fonction d’accueil et d’animation ?
Physique cantique en Bretagne
Oui, nous avons la chance à Josselin d’avoir des bâtiments, le couvent des Carmes, fondé en 1624 et connu aujourd’hui sous le nom de La Retraite. En l’absence de la fraternité en question – elles préféreraient être sœurs apostoliques, pour l’accompagnement des malades – j’ai envoyé une série de demandes, j’attends actuellement les réponses. Enfin, je précise que cette nouvelle structure s’appellera Tylis, de Ty, maison en breton, et lis, de la devise de la basilique, lilium inter spinas, du lis entre les ronces.