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Partenaires exigeants

Après l’obligation de dématérialisation des factures à destination des administrations publiques (B2G), c’est au tour des échanges inter-entreprises (B2B) d’être dématérialisés. Les entreprises françaises sont-elles prêtes ?

Selon vous, il est donc indispensable de se faire accompagner.

le 21.11.2022 à 12h18

Pouvez-vous nous préciser les grandes étapes de la réforme ?

Parlez-nous des PDP, ces fameuses Plateformes de Dématérialisation Partenaire qui vont apparaître prochainement.

Lecture 8 min.

Les chiffres du Future of Finance Barometer réalisé par Losam en collaboration avec Esker peuvent presque être trompeurs. 54% des entreprises interrogées sur la réforme de la facturation B2B se disent totalement ou partiellement prêtes. La réalité s’avère plus complexe : comment être prêt quand les plateformes ne sont pas en place ?

La qualité des données en amont est donc à ce point primordiale ?

Certains départements financiers ne sous-estimeraient-ils pas l’impact de la dématérialisation sur leurs organisations ? Alors que la date fatidique du 1er juillet 2024 approche à grands pas, bilan avec un spécialiste en la matière : Thomas Honegger, COO France-Benelux-Suisse chez Esker.

Depuis dix ans, les Etats européens et la Commission européenne poursuivent l’objectif de mettre en place la dématérialisation des factures.

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Un dernier conseil ?

Cette nouvelle réforme dite B2B s’inscrit dans le cadre de l’élargissement de l’obligation de facturation électronique pour toutes les relations commerciales avec le public, ce que l’on appelle B2G, pour Business-to-Government. A ce jour, ce sont environ 100 millions de factures par an qui sont envoyées via Chorus Pro.