Les zones à faibles émissions ont encore un long chemin à parcourir avant d’espérer se généraliser. C’est la ligne principale qui a récemment été mise en évidence dans une enquête centrée sur ce sujet. Une étude dont l’objectif principal était d’avoir une vision plus précise du point de vue français à l’égard de ces ZFE.
Depuis peu, le comparateur d’assurance auto, les médias, les réseaux sociaux et autres plateformes parlent beaucoup de ZFE. Non sans raison, car le sujet n’a cessé d’attirer l’attention depuis un certain temps.
A ce titre, Enterprise fait partie des nombreuses entités qui s’y intéressent à travers une enquête centrée sur la perception française de ces Zones à Basses Emissions.
Le résultat est clair, encore plus d’efforts doivent être faits pour permettre à ces ZFE d’obtenir un titre d’entrée et de s’intégrer dans les mœurs des Français, encore trop nombreux à ne pas connaître les grandes lignes.
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Contraignantes, mais utiles
Nous vous rappelons que les pays de l’Union européenne, dont la France, ont jusqu’en 2025 pour exposer les villes de plus de 150 000 habitants. les résidents des zones à faibles émissions à des amendes élevées. Pour cette raison, le nombre de ZFE en France tend à se multiplier.
Ce qui est une bonne nouvelle, mais jusqu’à présent les Français n’y sont pas encore préparés pour la grande majorité. Enterprise le montre dans un rapport récent, indiquant que 82 % des personnes interrogées ont déclaré que ces zones sont contraignantes à un pourcentage élevé sur :
Par conséquent, ces ZFE sont considérées comme une limitation. Nuance cependant, car un si grand nombre de répondants ont confirmé par la même occasion leur utilité. Ou maximum :
C’est le cas, alors que 69 % des répondants estiment qu’au moins un de leurs trajets sera impacté par la ZFE chaque mois, si 18 % d’entre eux le font chaque jour.
Les informations au niveau local font défaut
En d’autres termes, avec une part de plus de 80 %, de nombreux conducteurs considèrent encore le ZFE comme une limitation, d’autant que les trois quarts déclarent ne pas encore disposer d’un modèle adapté. De quoi inciter 23% d’entre eux à éviter ces zones, si 18% réfléchissent à un moyen de transport alternatif, tandis que 13% envisagent de changer de voiture pour se conformer à la nouvelle réglementation.
Mais pour en revenir au cœur du sujet, ce sondage a révélé que ces critiques négatives s’expliquent principalement par des informations locales manquantes. Preuve :
Un phénomène qui se produit lorsque les conducteurs ont conscience que le non-respect de cette règle est passible d’une amende. Au moins plus de la moitié des répondants le savent, précisant cependant que 7% d’entre eux n’ont aucune idée de la taille.
Des efforts devraient donc être faits pour changer la donne, sachant toutefois que 95 % des habitants des ZFE ne disposent plus de la vignette Crit’Air qui indique quel véhicule peut circuler ou non dans ces zones. n’importe quel secret. Un niveau qui tombe à 81% pour les autres.