Dans l’affaire du chlordécone, les réactions politiques sont unanimes pour dénoncer le non-lieu prononcé par deux juges d’instruction du tribunal de Paris. Près de 16 ans de recherche pour arriver à cette décision. Aujourd’hui, il s’agit vraiment de savoir ce que les politiques peuvent encore faire contre cette décision de justice.

o.lancien

Publié le 9 janvier 2023 à 11 h 04

En la matière, les politiques marchent sur des œufs… Ne pas être élu, même dans des responsabilités, est, aujourd’hui, plus facile après cette décision des deux juges d’instruction jeudi dernier.

Pourtant, la tendance politique est unanime : une dénonciation systématique de ce limogeage. « Déni de justice », « scandale », « décision inacceptable »… les qualificatifs sont nombreux.

Il y a ceux qui prennent les précautions d’usage en vertu de l’indépendance de la justice et réclament plus de recours, de recours en cassation ou encore devant les juridictions européennes.

D’autres sont plus déterminés et accusent un « système » étatique qui couperait la croupe à la Guadeloupe, la Martinique et sa population.

Une chose est sûre, il faut y aller avec sa réaction politique pour ne pas être accusé d’inertie.

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