L’utilisation d’un Compte Personnel de Formation (CPF) pour financer le permis de conduire sera bientôt restreinte. Pour faire cesser certains abus, de nouvelles conditions entreront en vigueur le 1er novembre, précise Le Figaro.

La loi « Egalité et Nationalité » a mis le CPF à disposition pour financer le processus d’agrément. Mais à partir de novembre, seules les auto-écoles qui ont reçu l’agrément du gouvernement provincial peuvent payer le CPF. Les candidats ne peuvent l’utiliser que pour financer les admissions B, C1, C, D1, D, C1E, CE, D1E, DE.

Le candidat doit remplir une attestation sur l’honneur

Le CPF a pour objectif de permettre aux travailleurs ou aux demandeurs d’emploi de financer une formation pour faciliter leur évolution professionnelle. Ils ne pourront donc plus utiliser leur compte pour obtenir un permis bateau ou moto. Les cours de récupération de crédits et les cours de remise à niveau ne seront plus éligibles au système non plus.

Pour financer le CPF, l’offre d’auto-école doit également comprendre à la fois la préparation à l’épreuve théorique du Code de la route et l’épreuve pratique de conduite. De plus, le candidat doit remplir, signer et transmettre à l’organisme de formation une attestation attestant que la licence est passée dans un domaine professionnel.

Le document demande notamment au titulaire du compte de confirmer « que l’obtention d’un permis de conduire contribue à la confirmation de [son] statut professionnel ou au renforcement de [sa] sécurité professionnelle ». Dans le premier cas, il est nécessaire de détailler le projet qui sera permis par le permis.

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