Nous avons récemment mené une étude sur l’évolution du marché immobilier. La hausse des taux d’intérêt a causé divers problèmes. La famille, qui était auparavant éligible aux prêts, a maintenant un taux d’endettement de plus de 35 %. Les banques sont également de plus en plus sélectives. L’inflation devrait diminuer, mais pour l’instant le marché est bloqué.

Les ménages français ont de plus en plus de mal à obtenir un crédit immobilier ces derniers temps. À première vue, la solvabilité diminue, d’où la réticence des banques à accorder des prêts. En outre, ils citent souvent la destruction massive comme cause majeure de la situation actuelle. La dette, souvent mise en cause dans le passé, n’a pas encore été résolue que certains problèmes se font jour. Nous avons décidé de mener nos recherches sur la situation en France par l’intermédiaire de Maël Bernier. Cependant, les prêts hypothécaires se raréfient avec la hausse des taux d’intérêt. Leur taux d’emploi est passé de 72 % à 58 % en seulement deux ans.

Un problème généralisé pour l’immobilier

Les taux hypothécaires ont augmenté en l’espace d’un an seulement. Il est passé de 1,1 % en 2021 à 2,3 % en 2022 pour un prêt sur 20 ans.Avec cette forte hausse, les ménages se retrouvent désormais dans l’impossibilité d’emprunter.

Les mensualités augmenteront automatiquement. La limite de crédit peut être facilement atteinte avec cette hausse de taux. Pour conserver les mensualités de janvier, alors qu’elles n’ont pas encore augmenté, les ménages vont réduire le montant à emprunter. La différence peut atteindre 30 000 euros pour un foyer ayant un revenu de 4 000 euros par mois, selon Maël Bernier.

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De leur côté, les vendeurs ne sont pas près de baisser leurs prix. Cependant, même un mouvement de leur part peut ne pas suffire à stabiliser la monnaie.

Maël Bernier prévoit moins d’un million de ventes pour 2022. Notre porte-parole n’est pas optimiste quant au paysage pour l’année prochaine. Dans ses mots :

Ce sera particulièrement vrai pour le premier semestre.

Quand le taux d’endettement devient problématique

La limite de crédit est fixée à 35 %. Environ un tiers des dossiers que nous recevons montrent un taux supérieur à 40 %. Ils sont le plus souvent ignorés en présence des banquiers. L’effectif (équivalent 30%) correspond à une augmentation de 9% par rapport à janvier 2021.

Entre 35 et 40 %, les ménages peuvent espérer obtenir un crédit. Ces dossiers humiliants représentent 20 %, précise notre porte-parole. Cependant, les institutions financières surveillent le niveau de revenu et la capacité d’épargne des clients avant d’accorder des prêts.

Les prêts hypothécaires ralentissent. Nous enregistrons moins de 35% de nouveaux dossiers depuis mars à octobre. Les banques, de plus en plus, saisissent les maisons.

Notre porte-parole a expliqué que les quarante qui veulent vivre dans le plus grand espace. Ils ont obtenu leur maison à un taux de 1 % et ne veulent pas réemprunter à un taux de 2,5 % ou 3 %.