Je dis toujours oui aux nouvelles expériences. Surtout quand il s’agit de défier la gravité comme dériver de 420 pieds. Cette fois, je suis resté plus près du sol pendant que j’expérimentais l’expérience iFly Montréal VR !
L’accueil rassurant
Pour ceux d’entre vous qui ne savent pas ce qu’est iFly Montréal, tout d’abord… c’est à Laval. Je sais, j’étais confus aussi!
iFly Montréal (mais pas à Montréal) est un endroit où vous pouvez flotter dans les airs dans une chambre de vol de 14 pieds de diamètre. Au bas de ce tuyau géant se trouvent quatre moteurs à vapeur de 350 cheveux qui entraînent des vents pouvant atteindre 300 kilomètres à l’heure. Cette vitesse est suffisante pour avoir la sensation de chute libre lors d’un saut en parachute.
La première chose que j’ai remarquée à propos d’iFly, c’est que nous ne lésinons pas sur la sécurité. Avant d’arriver, nous avons dû regarder une vidéo expliquant les consignes, qu’ils m’ont répétées sur place. C’est rassurant.
Ensuite, nous avons dû nous déguiser, mettre nos bouchons d’oreille, mettre nos casques et nous étions prêts à voler !
Les premiers vols
Le forfait iFly Montréal comprenait cinq vols d’une minute chacun. Nous avons opté pour trois vols « normaux » et deux vols avec des casques VR. Puis nous sommes entrés dans le sas et c’était l’heure de chanter. au sens propre!
Grâce aux instructions pré-livrées, je me sens en confiance. Contrairement à d’autres activités plus risquées, ici je suis complètement détendu pour la première fois.
Certes, mon premier avion n’était pas plein de pirouettes, mais c’était une bonne introduction à l’activité. Dès le deuxième saut mon instructeur m’a emmené très haut dans les airs et c’était vraiment impressionnant !
Au cours de ma troisième année, j’ai réussi à voler par moi-même sans être retenu pendant quelques instants. Même si je courais souvent dans les murs parce que mes pieds n’étaient pas positionnés de manière optimale, c’était vraiment amusant de me voir tourner si vite !
C’est l’heure de l’expérience VR!
Au fur et à mesure que nous nous préparions, les détails du vol en VR sont devenus plus clairs. Fondamentalement, nous porterons un casque VR qui contiendra une prise vidéo du drone roulant sur le paysage sélectionné avant le décollage.
Les choix sont suffisamment variés pour offrir une variété de décors. Vous pouvez trouver une montagne enneigée comme un ruisseau coulant sur une colline.
L’instructeur, assis dans le vestibule, met un casque VR et nous conduit à la chambre de vol. Cela fait démarrer la vidéo en même temps que nos pieds quittent le sol.
Du côté positif, la vitesse à laquelle vous avez l’impression de tomber correspond vraiment à la vidéo projetée dans notre casque VR. L’effet est vraiment réussi à ce niveau !
Par contre, les vents forts luttant contre la gravité font tellement vibrer le casque qu’il nous empêche de voir des images nettes, ce qui nuit à l’immersion. Mon cerveau n’a jamais été dupe de l’illusion proposée. C’était encore très amusant !
Bien que je sois content d’avoir pu l’essayer, mes prochains vols se feront sans casque. Si vous vous demandez à quoi cela ressemblait dans la vidéo, cela ressemblait à ceci:
En fait, mes années ont été extrêmement agréables. Si je repasse par iFly Montréal, vous me verrez peut-être flotter dans les airs à iFly Montréal!