Haut Conseil Climat : "La réponse de la France au réchauffement climatique reste insuffisante"

Dans son nouveau rapport, l’organisme indépendant s’inquiète des mesures d’urgence prises par le gouvernement en réponse à la hausse des prix de l’énergie et à la guerre en Ukraine, et appelle à un plus grand recours aux actions de sobriété.

Pics de chaleur, épisodes de gelées tardives, fortes pluies, inondations… L’année 2021 n’a pas été sans évènements climatiques extrêmes, dont la probabilité et l’intensité sont exacerbées par le réchauffement climatique. Mais malgré l’aggravation notable de l’impact de la hausse des températures, à la fois « chronique » et « aiguë », un autre constat est important, tout aussi grave : la France ne fait toujours pas assez pour réduire ses émissions de CO2, pointe le Haut Conseil au changement climatique. dans son nouveau rapport annuel.

« La réponse française au réchauffement climatique progresse », reconnaît cet organisme indépendant, chargé d’évaluer l’action gouvernementale pour le climat et de formuler des recommandations. Mais cela « reste insuffisant ». Face à la montée des risques, les treize experts du HCC – tous choisis « pour leur expertise dans les domaines de la science du climat, de l’économie, de l’agronomie et de la transition énergétique » – appellent une nouvelle fois à une accélération « sans précédent » de la baisse des émissions de gaz à effet de serre de la France. . Et nous prévenons : sans ce « saut » il y a de « gros risques » que l’Etat n’atteigne pas les objectifs qu’il s’est fixés.

Une enquête sur la règle « climat-je m’en fous » dans le haut de l’état

Un rebond « partiel » des émissions

Ce nouveau rapport HCC, rendu public dans un climat tendu au sein de l’organisation, part d’un premier constat qu’il illustre assez bien

Cet article est réservé aux abonnés. Pour en savoir plus, profitez de nos offres à 1€

En choisissant ce parcours d’abonnement promotionnel, vous acceptez le dépôt d’un cookie analytique par Google.

Pour répondre, je me connecte

gigognan publié le 2 juillet 2022 à 17h05

Comment demander plus d’efforts à un pays qui fait partie des « industrialisés » qui émettent le moins de CO2. Comment alors demander moins de rejet et se plaindre du prix de l’énergie, alors que le prix est la principale raison d’épargner, et qu’il faut des impôts pour financer les surcoûts de l’énergie verte, dont la démonstration de l’effet sur la production de richesses ( équilibre financier à long terme) est loin d’être convaincante.

Alphacharly publié le 2 juillet 2022 à 15h57

Haut Conseil pour le Climat ; un autre conseil de Théodula, dans lequel on retrouve Laurence Tubian, qui travaille déjà à la convention citoyenne pour le climat et le conseil de Jancovici carbone 4, qui est chargé de mettre nos empreintes carbone dans l’équation. Tous les passionnés de carbocentrisme, à gyrophare, ne sont absolument pas ouverts aux problèmes climatiques sauf par le biais du CO2. Il lui manque un homme Jouzel ex Giec pour avoir une bande de gourous prêts à évangéliser et façonner les citoyens. Mais il y a encore les contradictoires, Camille Veyres, François Gervais, Marc Fontecave, Vincent Courtillot, Benoit Rittaud. .. Tous aussi d’excellents spécialistes qui se voient interdire l’accès aux décors sous prétexte qu’ils n’adhèrent pas aux thèses du GIEC sur le rôle du CO2 dans le réchauffement climatique. Quand le GIEC arrêtera-t-il de mentir et de dissimuler le CO2 anthropique et mettra-t-il la réalité des émissions de CO2 anthropiques au premier plan de son SPM. Jamais sans doute car cela va à l’encontre de sa raison d’être. Le CO2 dans l’atmosphère est de 420 ppm, soit 0,0420% du volume, dont environ 6% de ce micro volume est constitué d’isotopes c12 etc13, traceurs du carbone fossile. Le CO2 représente 3,6 % des gaz à effet de serre, contre 95 % de la vapeur d’eau qui, bien qu’étant le gaz à effet de serre le plus important en volume, est volontairement oubliée ; si l’on accepte la thèse sur l’effet de rayonnement de la serre, de tous les composants atmosphériques qui peuvent absorber le rayonnement thermique de la Terre, la vapeur d’eau est la plus importante, à la fois en termes de sa plus grande concentration et de son plus grand pouvoir d’absorption. Sa contribution à cette absorption varie entre 65 et 95 % selon les conditions locales.

Anticiv publié le 2 juillet 2022 à 11h24.

Le conseil climat a à peu près les mêmes pouvoirs que la CNIL, c’est-à-dire des cacahuètes, et « la France n’en fait pas assez » est un euphémisme, elle fait exactement le contraire, l’artificialisation des sols se poursuit à un rythme effréné, les énergies « vertes » sont pas remplacés par d’autres mais ajoutés à eux. La loi du marché prime sur les autres et plus que jamais. Il n’y a jamais eu autant de destruction d’écosystèmes et de production de gaz à effet de serre, le tout exponentiel. Et on ne parle pas de la « transition écologique » qui est du pur greenwashing, avec le mirage de l’électrification générale qui se présente comme un remède à tout, et qui pollue autant que les fossiles, mais d’une autre manière (extractivisme et libération de polluants multiples et hyper-dangereux pour toutes les mines qui seront amenées à ouvrir).

À Lire  Comment gérer le stress .net avant les examens du secondaire

En fait, soit nous arrêtons tout maintenant dans une sorte d’année 01, alors peut-être qu’il y a de l’espoir ou… vous comprendrez que je fais partie des pessimistes.

Dans la crise que nous vivons, les pays riches se tournent vers le pétrole et le charbon tout en demandant aux pays émergents d’utiliser l’énergie verte, ce qui est hypocrite. Pas un seul pays n’a réussi à s’industrialiser sur la base des énergies renouvelables, a rappelé le vice-président du Nigeria ! Pour la méditation !

La figure 73 est chauffée au gaz, c’est une centrale nucléaire qui a besoin d’une chaudière pour l’allumage, elle fonctionne au diesel car son moteur n’a pas besoin de batterie, elle a gardé la manivelle.

Comment réduire l’effet de serre ?

Aller en haut du commentaire

  • Contenu:
  • consommer moins de chaleur.
  • pour financer des travaux d’isolation.
  • consommer moins d’électricité
  • réduire le kilométrage de la voiture ou même pas de voiture.
  • manger moins (mais mieux) de viande
  • consommer bio, local, de saison.
  • éviter l’avion autant que possible.

réduire ses déchets.

Quelles sont les gestes que l’homme doit adopter pour limiter le rejet des gaz à effet de serre ?

Pourquoi réduire les gaz à effet de serre ? Réduire les émissions de gaz à effet de serre limiterait le réchauffement climatique, mais cela pourrait aussi avoir d’autres bénéfices car les conséquences de ce réchauffement sont nombreuses sur la santé, le climat et l’environnement : élévation du niveau de la mer, perte d’habitats, inondations…

Quels sont les moyens de lutte contre l’effet de serre ?

Il existe de nombreuses solutions à cela : dépenser durablement en choisissant des articles de qualité qui devront être remplacés plus lentement ; isoler votre maison; équipez-vous d’appareils économes en énergie; voyager le moins possible en voiture, en scooter ou en avion ; fruits et légumes plutôt locaux et…

Comment limiter les émissions de gaz à effet de serre à grande échelle ?

La seule solution pour réduire l’effet de serre causé par les activités humaines est de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ainsi, en décembre 2015, 192 pays se sont mobilisés en signant l’Accord de Paris et en fixant des objectifs pour limiter le réchauffement climatique.

Qui siège au GIEC ?

Réduire les émissions du trafic, en particulier des avions et des voitures. Encouragez la marche, le vélo et les transports en commun. Améliorer l’isolation des bâtiments. Changez votre alimentation : mangez local, consommez moins de viande, réduisez le gaspillage alimentaire.

En 2021, le GIEC compte 195 pays membres, qui se réunissent pour la plupart une fois par an. Des centaines de fonctionnaires et d’experts de divers ministères et instituts de recherche pertinents des pays membres ainsi que des organisations observatrices assistent à ces sessions.

Qui a créé le GIEC ?

Comment est fait le rapport du GIEC ?

Qui participe au GIEC ? Tous les pays membres de l’OMD et de l’ONU peuvent participer aux travaux du Groupe d’experts, qui compte désormais 195 membres. Composé de représentants des pays membres, le GIEC se réunit en session plénière pour prendre des décisions sur les grands dossiers.

Comment les jeunes se mobilisent ?

Activités et procédures du GIEC Pour ce faire, il produit au cours de chacun de ses cycles : un rapport d’évaluation composé de plusieurs volumes. Cinq rapports d’évaluation ont été publiés entre 1990 et 2014. En mai 2017, le GIEC a défini un plan pour que le sixième rapport d’évaluation (AR6) soit publié entre 2021 et 2022.

« L’engagement des jeunes donne à tous les jeunes les moyens, les considérant comme des partenaires précieux, de répondre et de prendre des décisions sur des questions qui les concernent personnellement et/ou qu’ils jugent importantes. »

Pourquoi les jeunes manifestent pour le climat ?

Comment les jeunes s’impliquent-ils dans l’environnement ? « Promouvoir des comportements respectueux de l’environnement en classe ». Hôtel à insectes, abris à oiseaux, potager participatif… De nombreuses actions peuvent donc être menées au niveau local, via les lycées ! Les universités peuvent aussi être une source de mobilisation.

Comment mobiliser les jeunes ?

L’objectif des grèves pour le climat est d’attirer l’attention sur l’insuffisance de la politique climatique, de prendre des mesures pour protéger le climat et d’exiger le respect de l’Accord de Paris sur le climat.

Qui finance le GIEC ?

Pour bien mobiliser les jeunes, et s’il n’y avait que quelques mots à retenir, on retiendrait les suivants : donner du sens, créer de l’engagement, s’aider de jeux, voir par soi-même. et s’appuyer sur de jeunes ambassadeurs.

La France apporte 1 million d’euros par an pour financer le budget annuel de 6 millions d’euros. C’est important. Enfin, le GIEC ne coûte pas si cher à la planète.

Qui siège au GIEC ?

Qui est le président du GIEC ? Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a élu mardi son nouveau président, Hoesung Lee de la République de Corée. Hoesung Lee a été élu avec 78 voix contre 56 en faveur de Jean-Pascal van Ypersele.

Quel rôle possède le GIEC auprès de l’ONU ?

Le GIEC est composé d’experts scientifiques (climatologues, économistes, etc.) mandatés par les gouvernements de 195 pays membres. Ils sont chargés de parvenir à un consensus entre tous les pays, ce qui n’est pas toujours facile !