La démolition de la maison Labarthe, boulevard des Douves achetée à l’Ehpad, il y a une dizaine d’années, interpelle, notamment, l’âge de notre peuple. Ils y rencontrèrent, le couple René Pradines plâtrier, auteur de sa construction, puis pendant plusieurs années, le Docteur Audouard, maison et accueil du public dès son installation dans nos murs et enfin la famille Labarthe, artisan retraité. Un projet complémentaire, envisagé depuis longtemps, est à l’étude et doit rester dans le cadre d’une importante modernisation.
L’Ehpad Marie Vernières, rappelons-le, est une maison privée, à but non lucratif, ce qui explique le coût de la vie raisonnable, gérée par l’Association du même nom, guidée avec enthousiasme et courtoisie par Christian Sournac, médecin à la retraite. .
Situé au cœur du village, le complexe, souvent qualifié de maison de retraite, participe activement à la vie locale, ce qui assure notamment : la préparation et la livraison de repas, environ et 11,5000 par an, une soixantaine par jour à chaque maison en ce. six cantines scolaires et un centre d’animation PASA, 14 quartiers résidentiels et 13 foyers d’accueil de jour, il y a aussi une aire de repos pour la récupération des soignants : « Le Soleil du Causse ».
Le rôle de cet hôpital est très important dans le Grand Villeneuvois et l’Ouest Aveyron.
Objectifs et projets
La première exigence est de renforcer le rôle de la Corporation à l’échelle de la ville et de son quartier résidentiel, en prévoyant à long terme une augmentation des 47 lits actuels, mais il faut l’autorisation non reçue, des autorités. bureau de santé. C’est l’objectif final, un portefeuille important qui doit être atteint après une recherche approfondie et minutieuse. Budget suivi avec attention, seule aide pour le moment, limitée aux engagements confirmés du Département du Ministère (50%) et de la province de Villeneuve (25%), en attendant la même participation de la Communauté Ouest-Aveyron. En termes de gestion, consigner les résultats dans l’objectif, donc les travaux en cours, permettre, d’abord, un programme bas, de résoudre les besoins immédiats.