Pour les apprenants, une éducation éligible au financement des finances personnelles (CPF) peut accroître leur accès et leur portée auprès du public. Mais pour pointer la situation, il y a tout un processus à suivre et de nombreuses consignes à respecter.

Le compte personnel de formation (CPF) permet à tous les salariés de financer une formation professionnelle. C’est pourquoi il est tentant pour les prestataires de formation (OF) d’inscrire les formations sur la plateforme CPF, car cela garantit qu’elles pourront être financées par des fonds publics, et sera plus attractive pour les participants potentiels. Mais signaler un enseignement n’est pas si facile. En fait, les responsables gouvernementaux veulent s’assurer que la formation en cours d’emploi est efficace pour les employés. La mise en œuvre de la formation doit s’inscrire dans l’un des domaines suivants : formation qualifiante, vérification de l’expérience (VAE), évaluation des compétences, préparation au permis de conduire, accompagnement des entrepreneurs. Et le voyage peut prendre beaucoup de temps avant que les fondations n’entrent en scène. Nous vous guidons dans les étapes importantes.

Obtenir la certification Qualiopi

Toutes les offres de la plateforme doivent être certifiées Qualiopi depuis le 1er janvier 2022. Cette certification nationale, contrôlée par l’Etat, atteste d’un niveau minimum de formation institutionnelle. L’entrepôt comprend sept niveaux, tels que l’information du public sur les services offerts et leurs résultats, l’adaptation aux bénéficiaires, la pertinence des articles spéciaux, l’éducation et l’accompagnement. Ensuite, divisez chaque marque, 32 au total. L’obtention du badge Qualiopi prend plusieurs mois. Les établissements d’enseignement doivent recevoir un numéro de notification d’activité de la DREETS, la Direction Régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et de la Solidarité (qui a remplacé la Direccte) . Il doit alors s’adresser à un organisme certificateur habilité par le Cofrac, le Comité Français de Certification.

Préparer l’audit

L’organisme de formation informe le certificateur de la date requise pour l’examen de certification. Attention, cela ne se fait pas du jour au lendemain, mais « deux ou trois mois voire six avant le jour », prévient Sandrine Carbonaro, responsable des formations et des sujets RH et auditeurs à l’Afnor, l’organisme certificateur, il est recommandé de faire une démarche de reprise . Pour conclure un contrat, l’Afnor, comme la plupart des certifications, demande le numéro du relevé d’activité, le rapport de formation et financier, le type de formation, et rédige un devis.

Dans cette période, « il faut se préparer, précise Sandrine Carbonaro. Collecter des textes, bien comprendre les signes qui nous concernent, l’esprit, la finalité des guides, les besoins. » Il vous invite à « communiquer efficacement sur le sujet avec vos équipes, désigner un référent Qualiopi et dans la foulée faire une enquête préalable, vous ou un tiers ».

Les apprenants doivent traiter les éléments de non-conformité identifiés et accumuler pour chaque preuve de son utilisation. Les exemples fournis dans le guide de lecture vont des publications d’information aux notes de satisfaction des étudiants, en passant par les règlements internes, les formations, les procédures et processus, les procédures et les méthodes d’évaluation.

Mais « ce ne sont que des exemples, ça doit être adapté à sa mise en oeuvre, calculé selon sa description, confirme Sandrine Carbonaro. La préparation ne doit pas inquiéter les indépendants », car si le public a encore besoin de respecter la situation, ils le font. ne vous attendez pas aux mêmes pratiques que les grands groupes. Une personne indépendante, par exemple, ne peut communiquer que sur LinkedIn, si elle dispose de toutes les informations nécessaires.

La préparation peut se faire seul, mais vous pouvez aussi suivre des formations ou avec un conseiller. La DGEFP, la Direction générale de l’emploi et de la formation professionnelle, explique que « les certificateurs proposent souvent des outils d’auto-évaluation ou des pré-tests qui permettent à l’organisme d’évaluer son statut la préparation à l' »examen », qui est faite par l’Afnor, avec une le test en ligne et un audit simulé doivent avoir lieu un ou deux mois avant l’audit officiel. sinon, la personne certifiée ne peut pas fournir de soutien ou de conseil à l’établissement d’enseignement sur l’examen ».

Passer l’audit

Quelques semaines avant l’audit, l’auditeur contacte l’établissement d’enseignement pour lui fournir un plan d’audit avec un planning horaire. « Ce plan détermine le périmètre du test, les noms des personnes à rencontrer et fait apparaître les indicateurs pertinents qui impactent le test », détaille la DGEFP. « Mais l’organisme ne sait pas quels modèles pédagogiques seront testés », précise Sandrine Carbonaro. Seule certitude : ce sera en lien avec la formation qui a déjà été faite. « S’il s’agit d’une nouvelle personne qui n’a pas suivi la formation, l’auditeur de processus auditera et lors de l’audit il vérifiera ce qui a été fait. »

L’audit a lieu sur le site de formation. L’auditeur examine les données liées à chaque cible, inspecte les salles de classe pour vérifier la disponibilité des équipements adaptés aux cours d’audit, consulte les CV des enseignants, etc. Il a ensuite remis son rapport d’inspection. Si l’établissement d’enseignement approuve, il est approuvé, puis l’auditeur soumet le rapport final à la publication accréditée, qui prend la décision.

La désobéissance est un signe qui conduit à la désobéissance, mineure ou majeure. Beaucoup de non-conformité est irrespectueuse comme un signe « qui remet en cause la qualité de l’enseignement, explique Sandrine Carbonara : l’absence de règles locales, de conditions générales de vente… » Le non-respect a minima est une non-partie du respect de certaines qualifications, ce qui « ne remet pas en cause la qualité de l’enseignement ».

Apporter des correctifs

Selon le responsable, les trois plus grosses non-conformités en 2020 sont liées à la note #2, avec des résultats de formation non publiés, ou non spécifiques à chaque formation ; Point #26 et pas de liste de partenaires/experts ; l’indicateur n°1 et « les méthodes d’examen sont rarement mentionnées sur la page du programme ». Mais on a aussi pu « constater récemment, sur le critère 2, un cadre de formation manquant ou partiellement complété ; et des problèmes dans la gestion des sous-traitants, correspondant à l’indicateur 27, qui nécessite de s’assurer qu’ils respectent le cadre de référence. , il faut un système, donc ce n’est pas moins qu’un contrat de service, et de vérifier que tout le monde répond aux mêmes exigences. Et le signe 32, au dessus de la démarche d’amélioration continue, pas toujours du très bon pétrole ».

L’établissement d’enseignement dispose de trois mois pour corriger une lacune majeure, avant que le rapport final ne soit soumis pour approbation. Cinq défauts mineurs subsistent au moment du constat égal à un majeur. La plupart des incohérences persistent pendant l’enquête du vérificateur menant au rejet.

Les non-conformités mineures doivent faire l’objet d’un plan d’action à mener dans les six mois. Un examen de suivi est effectué 18 mois après la décision, généralement à distance. Chaque non-conformité mineure doit être traitée, sinon elle deviendra un problème majeur et entraînera la révocation du certificat. D’autres défauts peuvent survenir et doivent être gérés. Le certificat Qualiopi doit être renouvelé 18 mois plus tard, puis tous les trois ans.

En cas de refus, un délai de trois mois doit être respecté avant de faire une nouvelle demande. « Passé ce délai, l’organisme enquêteur doit notifier à l’organisme certificateur la non-conformité constatée et démontrer qu’elle a été résolue », précise la DGEFP. En cas de litige, une plainte peut être déposée auprès de l’organisme de certification. En l’absence de suivi, le Cofrac peut être confisqué.

Se faire enregistrer sur un registre

Sauf dérogations, les formations doivent être agréées et inscrites au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP), qui recense toutes les formations des écoles préparatoires aux métiers, ou à la liste spéciale (RS) qui recense les formations non spécifiques aux métiers. compétence, spécialisation, profondeur, une nouvelle approche. Le certificat doit être renouvelé tous les cinq ans.

Exercer avec une habilitation

Il n’est pas important d’avoir un certificat. Il peut être testé avec une autorisation délivrée par un organisme certificateur, académique ou non, qui a enregistré un certificat dans un registre. 3 000 certificats de travail pour 150 000 autorisations. C’est le modèle du TOEIC, organisme de certification qui ne dispense pas lui-même la formation. L’organisme de certification est responsable des activités des organismes accrédités. Il faut s’assurer que ce certificat est bien ouvert dans son rapport, car il n’est pas toujours clair. Les organismes de certification privés facturent généralement des frais pour l’utilisation de leur certification.

S’inscrire sur un registre

Pour ceux qui souhaitent s’inscrire directement au RNCP ou au RS, les consignes à suivre sont détaillées. La candidature doit être faite en France Compétences, sur le site dédié CertiPro, après avoir préalablement créé un compte. Pour Isabelle Lopes, responsable pédagogique à l’école CentraleSupélec Exed, il ne faut pas hésiter à joindre les informations attendues, par exemple « rédiger des énoncés avec des verbes d’action évaluables ». D’autant plus que « les magasins changent tout le temps et en peu de temps ». Si selon lui, les organismes sont prévenus dessus, ils n’ont pas toujours tous les documents parfaitement préparés.

Etre enregistré au RNCP

Pour la démarche de dépôt d’une demande d’inscription au RNCP, deux consignes s’imposent. La première est la preuve combinée, explorée dans les deux dernières éditions. « C’est très important pour nous, c’est l’assurance de Mickaël Charbit, le directeur de la certification chez France Tomai. Si la certification donne la certification niveau 7 du responsable RH et des personnes formées comme assistantes administratives, les objectifs ne sont pas atteints. » Nous ne voulons pas d’objectifs de travail irréalistes ».

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Les enseignants doivent également inclure des informations, des activités, des qualifications et des évaluations. L’activité correspond aux métiers que l’enseignement peut exercer avec les différents types de travaux et missions qu’ils présentent. Les compétences sont ce qui est nécessaire pour exécuter l’activité. « On peut s’y attendre », assure Mickaël Charbit, pour des transactions qui ne cessent de se développer. Le référentiel de compétences doit faire apparaître « des objectifs pédagogiques et des compétences vérifiables sur le marché du travail ».

L’évaluation, importante, doit être précise et évaluer chaque compétence. Le référentiel doit montrer « quelle est la nature de l’épreuve, quel niveau d’utilisation est attendu, quand pense-t-on que la compétence a été acquise, énumère Mickaël Charbit. » et s’appuyer sur les transactions, travaille-t-il, en gérant les règles de sécurité. .. » Pour une évaluation des compétences techniques, il peut y avoir un cas pratique écrit, mais une combinaison ou un discours individuel semble plus approprié. « . L’objectif de la recherche dépend également du type de titre obtenu à l’issue du cursus.

Etre enregistré au RS

Pour une inscription spéciale, il n’y a pas de registre d’activité. Ce qui est important, en plus des éléments évoqués pour le RNCP, c’est d’apporter une compétence particulière qui est absente des RS et du RNCP, avec « une valeur ajoutée à l’évolution professionnelle d’un atout », selon Mickaël Charbit. Il y a des occasions particulières, car « la même compétence de base dans un métier peut être complémentaire à un autre ». Avant tout, les compétences à développer doivent être centrées sur une activité professionnelle pertinente. « Par exemple, la formation en œnologie qui s’adresse au personnel en salle est clairement un complément important, l’employeur est intéressé, la personne peut facilement trouver un emploi ou un salaire plus évolutif. Cependant, le CPF n’est pas là pour ce ».

D’autres stratégies (entraînement à une compétence non couverte, corps sain, communication propre, etc.) « non centrales, mais sur un dossier, peuvent alors apporter leur contribution ». L’important est de « se poser la question de savoir quel marché du travail a besoin de votre éducation et d’avoir un lien fort avec le monde de l’économie ».

L’examen par France Compétences

Attention aux exemples qui peuvent faire douter de l’insuffisance ou de la dégradation de l’établissement d’enseignement, car les compétences françaises commencent à être menacées en la matière. « Une erreur de bonne foi peut aussi montrer que l’organisation n’est pas prête. C’est une confirmation qui vaut mieux qu’un simple enseignant ».

Les dossiers sont examinés par le service de certification professionnelle. L’enseignant peut demander des éléments supplémentaires, via la demande CertiPro, parfois avec un délai à respecter pour que la demande ne soit pas annulée. Une fois tous les documents réunis, la commission de certification professionnelle instruit le dossier. L’idée peut être bonne, mauvaise ou reportée. Dans le dernier chapitre, le candidat a la possibilité de déposer un dossier complet avec les éléments demandés. French Competences dit s’attendre à recevoir environ 3 300 demandes de certificats en 2022 et avoir une durée de fonctionnement de cinq mois, avec la nécessité d’atteindre progressivement trois.

Le cas spécifique des formations à destination des créateurs ou repreneurs d’entreprise

Certaines formations dites « légales » n’ont pas besoin d’être inscrites pour être financées par le CPF : VAE, bilan de compétences, permis de conduire, formations ciblées pour les chefs d’entreprise et les clients. Pour ces derniers, il y a des garanties au RNCP et au RS, mais c’est « ouvert derrière ces registres », selon Géraldine Boureau, responsable du service Régulation et financement à la direction sociale de la Caisse des Dépôts.

Cependant, ils doivent remplir certaines conditions, notamment fournir les compétences générales nécessaires à la gestion d’une entreprise, et non fournir une formation spécifique à un métier. La formation des dirigeants sur les réseaux sociaux peut être problématique : en soi, ils peuvent faire partie d’un plan de communication commun et donc utiles à l’entrepreneur dans le futur. Mais la Caisse des Dépôts considère qu’une formation portant uniquement sur les relations publiques s’assimile à une formation à la gestion d’entreprise. Pour être acceptée, elle doit s’inscrire dans une formation plus complète pour les futurs entrepreneurs.

L’accompagnement doit aussi être spécifique, « dans la mesure du conseil », selon Géraldine Boureau. L’établissement d’enseignement doit s’assurer que la personne qui a créé le projet et l’enseignant ont les compétences pour le soutenir. Ensuite établir un diagnostic, s’assurer que le projet est valable, du moins dans l’opinion, « il peut dire que de tels paramètres sont inappropriés et devraient être revus », en examinant les documents qui ont tous été établis par le créateur, plans, plans d’actions , business plans… Les compétences enseignées doivent être adaptées en fonction de cette maladie. « Il doit en avoir besoin pour son projet », estime Géraldine Boureau.

Demander l’inscription sur la plateforme CPF

Pour s’inscrire sur la plateforme CPF, il reste encore de nombreuses étapes. La plupart des données sont disponibles sur PIOF, le portail d’information des établissements d’enseignement. Selon Géraldine Boureau, « si un établissement d’enseignement veut être sur le clou, il doit prendre connaissance des informations et des modalités générales d’utilisation, qui expliquent en détail ce à quoi on s’attend et les sanctions qui peuvent être, ainsi que les normes particulières utilisées en éducation. établissements ». Il a aussi expliqué qu’il y a « des fédérations, des acteurs qui sont là pour soutenir les établissements d’enseignement ». Il a déclaré que la Caisse des dépôts « veut que la fondation propose un enseignement de qualité, et non du e-learning, que beaucoup confondent avec l’enseignement professionnel ». Il n’y a rien à faire : derrière l’enseignement professionnel se trouve un accompagnement pédagogique, qui permet à la personne d’exprimer de réelles compétences et un véritable développement ».

Qualiopi doit donc être certifié, compétent et détenir une déclaration d’activité, respectée en toutes circonstances. L’ensemble de ces éléments permet de demander l’accès à l’Espace des organismes de formation (EDOF), avec justificatifs. La Caisse des Dépôts peut demander des documents complémentaires. Dans cette période, les organisations bénéficient d’un accompagnement, notamment avec de la documentation et des webinaires. Si tout est en ordre, l’organisme reçoit une clé d’activation, puis autorise l’accès à la plateforme CPF et y stocke ses offres de formation. Un guide explique le processus.

Passer les contrôles

Sur scène, French Skills et la Caisse des Dépôts effectuent des contrôles, d’abord auprès des établissements d’enseignement, ensuite et certifiés, parfois « dès l’arrivée sur scène », prévient Géraldine Boureau.

Il se peut que les normes pédagogiques ne correspondent pas à ce que l’organisation exprime sur la base, ou « un coup est un problème pour une organisation éducative qui vient d’arriver : il y a aussi des pratiques commerciales un peu exagérées parfois », a déclaré Géraldine Boureau. Outre les annonces de suivi et de contrôle des données mises en ligne sur la plateforme, « une source importante de contrôles des réclamations, des signalements de ceux qui détiennent (peut aussi donner des exemples en formation), de Pôle Emploi, d’autres instances de régulation : services de prévention des fraudes, services régionaux du ministère de l’Emploi, services fiscaux ». Les premières vérifications peuvent être automatisées, sur un exemple de dossiers dont l’établissement d’enseignement demande un versement au CPF, et une demande de pièces justificatives.

Les contrôles sur les formations aux futurs entrepreneurs

Au printemps dernier, une grande vague d’instructions sur la formation des entrepreneurs en a détruit plusieurs. Certains se sont plaints de décisions abusives, ce que la Caisse des Dépôts conteste. « Pendant quelques mois, la formation dans l’entreprise a été un nid de tromperie. Il y avait un besoin d’action très fort » assure Mickaël Charbit qui sait que « peut-être qu’il n’y a pas de compréhension de la loi et du règlement » et que « parfois la décision était assez difficile. » Mais pour lui, le but de ces consignes est « d’éviter des complications inutiles », avec des joueurs moins rationnels que d’autres.

Mais cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Premièrement, il y avait un appel à réglementer tous les établissements d’enseignement qui offraient une formation en développement des affaires et en recrutement; puis annoncé sur le site de la Caisse des dépôts et du CPF.

A côté de cette situation, car à chaque fois que la formation n’est pas suivie, c’est une période conflictuelle, dans laquelle l’organisation dispose de deux mois pour résoudre l’accusation et envoyer toutes les pièces justificatives jugées nécessaires. Il peut demander à être entendu par la Caisse des Dépôts, mais celle-ci n’est pas tenue de l’accepter. Au terme de cette période, soit la correction apportée est suffisante et la situation revient à la normale, soit la situation est toujours en litige et la direction décide de prolonger la période de conflit ou d’annuler le cours.

Si une éducation ou une reconnaissance est refusée, elle peut faire l’objet d’un appel. Ensuite, écoutez les établissements d’enseignement. Géraldine Boureau assure que chacun obtienne une « réponse détaillée ». Après l’annulation, l’avis précisera la période pendant laquelle la pénalité courra. Pour mettre à jour la base de données, la Caisse des Dépôts instruit le nouveau fichier.