D’un côté, ceux qui apportent conseil et soutien, de l’autre ceux qui le recherchent. Trois formateurs et trois stagiaires partagent leurs expériences.
Bien-être moral mais aussi physique, sport. Confiance en soi. Adéquation et efficacité professionnelle. Meilleure gestion de l’argent. Ce sont là quelques-unes des promesses de développement personnel, qui ratissent large. Sachez que les intéressés, formateurs comme formateurs, le conçoivent de manière diverse. Témoignages de six d’entre eux.
« Je vise à rééquilibrer les chakras », coach Daphné, 38 ans, à Paris.
« Je me vois comme un compagnon de guérison intérieur, l’âme, plutôt qu’un coach de développement personnel. Je suis autodidacte, j’ai d’abord suivi une formation en médecine chinoise à l’Institut Chuzhen à Paris pendant trois ans, puis j’ai effectué un stage dans un hôpital chinois. De retour en France, j’ai travaillé dans un cabinet de médecines douces à Paris ouvert par un ostéopathe, en tant que guérisseur. J’ai perfectionné mon apprentissage, avec les magnétiseurs notamment, et grâce aux livres. En 2020, je choisis de devenir auto-entrepreneur et lance mon compte Instagram En vie de lumière, ainsi qu’un site internet. Mon approche est holistique, mon objectif est de rééquilibrer les chakras entre le physique et le psychique par le reiki, le toucher, et surtout la parole. J’utilise aussi parfois la lithothérapie ou le tarot. J’anime également des sessions de formation par visioconférence [une session coûte 75 euros, ndlr]. Je traite principalement des femmes entre 30 et 40 ans, mais je constate que les nouvelles générations