Exclusif – Derrière « Maxivoluptatem », amateur de sites libertins, se cachait Olivier B., ancien magistrat chargé du pôle famille au tribunal de Dijon. Il passe en jugement demain pour « corruption de mineurs » après avoir fait sa demande en mariage à sa fille de 12 ans sur un site de rencontre.
Sur le site de rencontres libertines Wyylde, « Maxivoluptatem » a indiqué qu’elle cherchait un partenaire masculin dominant. Surtout pour sa femme, qui le traitait de « mère salope » style « preppy » et voulait le voir « se faire enculer ». Et puis, au fur et à mesure des discussions, pour sa fille alors âgée de 12 ans, « Louanne », une « petite espionne », une « vierge », qui devait être « disneyée ». Avec des « petites claques » et « enlevant ses vêtements avec force » si nécessaire : « Vous allez la forcer… », répète-t-il à ses interlocuteurs, « vous allez être tellement excités. Il laisse entendre qu’elle sera « humiliée » et passer le -uriner sur elle. En plus, ils font « divers ». La mettent même dans un « anneau de pédo ». Pour relancer la conversation, « Maxivoluptatem » a alors envoyé des photos de sa fille, en maillot de bain ou peu habillée, son visage tantôt flouté, tantôt reconnaissable. Et il a répété à ses contacts le déroulement du même scénario. L’idée était de violer le garçon dans sa chambre, après la première relation sexuelle avec sa femme. Maxivoluptatem a assuré que sa femme Elle était d’accord. Il ne voulait pas être présent mais il voulait « lui dire ».
Un an après son inscription sur le site, le compte « Maxivoluptatem » a été signalé par un internaute, avant d’être identifié par un cyber-infiltré. Maxivoluptatem s’appelle en réalité Olivier B. Il a 56 ans et ne travaille pas « dans les assurances » en D
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bardamu publié le 21 février 2022 à 07:14
Ce couple de magistrats est dégoûtant. Je ne crois pas une seconde à l’ignorance de la mère. Un magistrat aux affaires familiales regarde de la pédopornographie violente sur son lieu de travail, même une série « trash » de Netflix n’a pas osé se rattraper.
yvesp publié le 19 février 2022 à 20:56
C’est d’abord un drame familial car l’enfant doit, je pense, rester notre première préoccupation. 
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Le reste soulève de nombreuses questions. Un couple de magistrats échangistes, c’est leur vie privée oui, mais quid des possibilités de pression, de chantage ?

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Concernant le traitement de cette affaire également avec un procureur qui, à ce moment-là, se dépêche d’expliquer que la femme ne sait rien.
Swinger ne l’a pas épousée, elle ne consulterait jamais le site en question ?

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Toujours sur ce traitement, l’homme est parti illico comme si la publication de cette nouvelle n’était pas le début d’une exécution.

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Sur ce traitement toujours avec cet homme qui rentre, comme si de rien n’était, dans le foyer de la famille. D’une manière ou d’une autre, remettre l’enfant à ce père indigne.

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La décision du CSM m’a agréablement surpris, contrairement à ce qu’il étouffe entre lui.