Un audit de sécurité informatique est l’une des premières mesures à prendre pour identifier vos failles de sécurité et ainsi protéger le quotidien de vos collaborateurs, vos données et vos systèmes d’information (SI).

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Pourquoi réaliser un audit de sécurité informatique ?
Comment concevoir votre politique de sécurité sans une vision claire et globale de votre niveau de sécurité actuel, sans analyser l’état actuel de votre SI ? Une faille de sécurité, une mise à jour non implémentée, un problème de configuration, une méconnaissance… les causes de failles à prendre en compte dans votre organisation sont multiples. Il représente donc un point de départ pour identifier les problèmes de sécurité et les vulnérabilités potentielles auxquelles votre entreprise est exposée.
Un audit de sécurité est un processus méthodique, indépendant et documenté d’obtention de preuves objectives par le biais d’une évaluation impartiale pour déterminer dans quelle mesure les critères d’audit ont été satisfaits. L’audit permet donc d’établir une revue, un état des lieux, un état des lieux complet de la sécurité du SI audité.
La crise sanitaire liée à la pandémie de COVID-19 a accéléré la digitalisation des entreprises et bouleversé l’environnement numérique. En effet, ces perturbations ont été exploitées par des cyber-attaquants à travers, par exemple, des campagnes de phishing massives ou ciblées, exploitant des vulnérabilités non corrigées, exploitant des accès à distance avec peu ou pas de sécurité… et leur donnant un jeu plus grand. un terrain plein de joueurs qui ignorent complètement les risques qui existent. L’audit est un moyen de tester le SI et de s’assurer de son niveau de sécurité.
Comment se déroule un audit de sécurité informatique ?

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Chaque organisation doit sécuriser son SI de manière appropriée et proportionnée. La réalisation d’inspections de sécurité dans des zones cibles permet de se prémunir contre d’éventuelles vulnérabilités, de connaître ses propres forces et faiblesses – pour les corriger ou prendre le relais – et surtout, de connaître sa propre position dans la mise en œuvre de sa propre politique de sécurité.
À quel périmètre et types d’entreprise s’adresse un audit de sécurité ?
Un audit de sécurité est construit autour de trois phases de mise en œuvre. La première phase est la phase d’initialisation, où le client (audit client), l’auditeur et l’auditeur définissent clairement les limites de l’audit, son périmètre et ses modalités de mise en œuvre. Cette étape est ensuite suivie de la réalisation, où un travail technique et/ou organisationnel est effectué pour finalement retirer la dernière étape, la restitution. Celui-ci est formé par la préparation d’un rapport d’audit, qui contient un résumé des résultats obtenus, divers points observés, des contre-mesures, des recommandations et, bien sûr, un plan d’action pour l’élimination des vulnérabilités découvertes.
Chaque auditeur doit porter une attention particulière à la qualité éditoriale de son travail. Le rapport résultant de l’audit doit être fidèle, pertinent, précis, méthodique et pragmatique. Chaque audit réalisé doit être source d’une haute valeur ajoutée et d’une qualité irréprochable selon les meilleures réalisations dans le domaine de prestation concerné.
Un audit de sécurité peut-il impacter le bon fonctionnement de votre entreprise ?
Entreprise LAN, web, sur site, cloud, sécurité physique des locaux… Information (ANSSI), concernant les audits de sécurité, diverses activités peuvent être envisagées : audit d’architecture, audit de configuration, audit organisationnel et physique, revue de code source ou tests d’intrusion . Chacun de ces audits couvre dans une certaine mesure un aspect de la cybersécurité. Un audit de sécurité peut donc porter sur n’importe quel domaine. Il suffit de définir clairement les limites à l’avance et de les tracer.

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Les cyber-risques n’épargnent plus aucune entreprise ou industrie, quel que soit le nombre d’employés. Dans le cadre d’une politique de sécurité, réaliser un audit de sécurité informatique reste indispensable pour toutes les entreprises, de la PME à la grande industrie. Cette approche préventive permettra de détecter les défaillances majeures de l’infrastructure et de son équipement informatique.
Comment être sûr que les résultats rencontrés ne seront pas divulgués ?
Même si les tests techniques sont non destructifs – ils n’impliquent pas d’interruption de service, de modification ou de suppression de données, malgré l’expérience et la méthodologie de mise en œuvre éprouvées, ils peuvent perturber le fonctionnement nominal des systèmes, infrastructures et applications cibles.
Les perturbations possibles incluent une consommation excessive de bande passante pendant une période d’audit donnée, un équipement requis qui présente des problèmes de comportement, la disponibilité d’applications qui provoquent des plantages et des instabilités. Cependant, il est important de noter que les audits de sécurité sont réalisés par du personnel compétent et formé et que chaque outil est qualifié dans un laboratoire interne avant d’être utilisé dans un SI de production.
Avant tout audit de sécurité, il est bien sûr recommandé de fournir des copies de sauvegarde des données (répertoires, bases de données, etc.). Enfin, des environnements d’audit alignés sur la production sont recommandés pour garantir que les tests effectués n’affectent pas les opérations de votre entreprise.
Cybersécurité : ne reportez plus, lancez-vous !
Les prestataires qualifiés PASSI – Prestataires d’Audit de Sécurité des Systèmes d’Information – répondent à différentes exigences de l’ANSSI, dont notamment l’exigence de déontologie et la garantie de confidentialité des données échangées et évaluées. En plus de vous offrir une approche éthique de la part de leurs équipes professionnelles.
L’ANSSI, c’est en fait une cote de confiance. Quels que soient les produits ou les services, la confiance est évaluée dans le cadre du processus de qualification et de son suivi. Les bureaux d’études qualifiés PASSI s’engagent ainsi dans la durée à respecter un ensemble de critères et de responsabilités repris de l’ANSSI – comme le maintien des compétences pour les entreprises de services.