Amazon vise à accélérer sa croissance dans le secteur de la santé. Après avoir lancé son service de télémédecine en 2019 et sa pharmacie en ligne en 2020, le géant de la tech a récemment acquis One Medical, une entreprise qui propose de multiples services de santé. Il nourrit désormais de grandes ambitions dans la lutte contre le cancer par la vaccination.

Feu vert de la Food and Drug Administration (FDA)

Amazon ambitionne de consolider sa position sur le marché de la santé outre-Atlantique. Ayant récemment mis en place des solutions pour améliorer le service de télémédecine, il souhaite aujourd’hui contribuer à la lutte contre le cancer du sein et de la peau.

La société de Jeff Bezos a reçu l’approbation des autorités sanitaires du gouvernement américain pour le développement du vaccin. En fait, Amazon a été autorisé à recruter des participants pour mener des essais cliniques précoces.

Il est à noter qu’actuellement, la prise en charge dans le traitement du cancer est bien prise en charge. Les patients peuvent utiliser le comparatif santé pour réduire la facture restante en trouvant la meilleure offre.

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Recours à l’intelligence artificielle

Pour concrétiser son plan, le géant de l’internet s’associe à une agence de recherche américaine. Elle compte également utiliser son expertise dans le domaine de l’intelligence artificielle pour développer des thérapies ciblées pour certains types de cancer.

De plus, il a sa vision de lutter contre le cancer depuis plusieurs années et dispose déjà d’un laboratoire interne très astucieux, dont le but est de travailler sur des projets de haut niveau.

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Cependant, toutes ces étapes impliquent l’échange d’informations sensibles sur les patients. Qu’en est-il de la confidentialité dans cette affaire ?

Selon un représentant d’Amazon, la société ne divulguera pas les informations de santé des clients de One Medical à des fins commerciales sans leur consentement exprès, comme l’exige la loi.

Cependant, les consommateurs européens bénéficient toujours d’une certaine protection puisque le règlement général sur la protection des données (RGPD) n’autorise pas la collecte de données médicales à des fins publicitaires ou de marketing.