Apprendre à vivre au ralenti

Vous voulez être en retard et rentrer chez vous ? Envie de vous détendre bientôt ? Maxime et Cathia Morin invitent les lecteurs à vivre leur joie intérieure, dans un lieu où ils se sentent en paix l’un avec l’autre, selon leurs qualités profondes et précieuses. Ils distribuent huit clés pour ouvrir les portes de ce lieu accueillant prônant une vie confinée dans leur nouveau livre, La petite maison.

Maxime Morin est entrepreneur et comédien et enseigne la méditation et le yoga. Elle est la fondatrice de Rose Buddha, une entreprise de vêtements éco-responsables. Sa sœur, Cathia Morin, est psychiatre et enseigne également le yoga et la réflexion.

Ensemble, ils ont eu l’idée d’écrire La petite maison, un guide pratique avec des explications, des spéculations et des preuves sur la recherche de l’échelle. Chacune des clés apportées par les sœurs Morin est conçue pour vous aider à trouver votre équilibre, contrôler vos peurs, célébrer qui vous êtes vraiment, vous sentir mieux au quotidien.

Quand l’idée du livre est venue, les deux sœurs étaient folles de joie et tout s’est bien passé. Ensuite, Maxime a attrapé le COVID-19 et le virus a attrapé, devenant le plus long COVID. De toute évidence, de nombreux plans ont été atteints. Bien qu’il comprenne parfaitement l’importance de vivre une vie simple et équilibrée, il se sent inadapté et doit repenser son quotidien.

Photo courtoisie, Mathieu Dumontier

Est-il possible de ralentir, de mettre de côté toutes sortes de besoins et tous nous repoussent, tout le temps ?

« Ce n’est pas magique de tout arrêter, d’aller sur une île déserte et d’acheter des tongs en liège. Ce n’est pas une idée de descendre », explique Cathia Morin.

Les décisions permettront d’établir des priorités, en éliminant le stress inutile.

« Parfois, nous sommes dans plusieurs équipes de direction, ou dans de nombreux liens qui ne nous profitent pas vraiment ou ne sont plus sous la pression de la pression sociale, mais qui ne nourrissent pas vraiment notre culture. Il s’agit donc simplement de renforcer, d’ajouter, d’ajouter, d’ajouter. »

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Surcharge en attente. « En fin de compte, notre emploi du temps devient plus détendu et significatif. L’idée de calme est de faire des choses qui ont un sens. Il s’agit de choisir les choses qui vont avec notre personnalité. Oui, nous sommes peut-être occupés, mais c’est symbolique. »

Cathia ajoute que nous sommes plus modernes dans l’accomplissement de ces tâches, en particulier dans la foi, afin que nous sachions ce que nous signifions pour les choses.

« Les pensées réelles vous font ralentir, surtout en ce moment. Faire les choses dans un moment de réflexion. C’est moins subir la vie, mais choisir sa vie. »

Cathia Morin ajoute qu’on peut, par exemple, penser à changer de travail si notre travail ne correspond pas à nos valeurs. Ou réduisez nos heures si nous savons que nous ne faisons que cuisiner sur la joue.

« Le faisons-nous pour nous-mêmes ou pour les autres ? Nous pouvons être incertains du but qui nous motive à faire les choses et qui nous permet de prendre des décisions éclairées, basées sur nos sentiments les plus profonds. »

Vous devez fixer vos limites avant qu’il ne soit trop tard. « Malheureusement, il faut parfois aller assez loin pour savoir ce que nous apprécions. Nous n’avons pas besoin de presser un citron tant qu’il n’y en a pas une seule goutte », dit-il.

EXTRAIT

« Tout écosystème doit maintenir un équilibre. Entre cette simple mesure se trouve notre vie, ou énergie vitale, et c’est la vie que nous voulons maintenir. Afin de prospérer et de s’améliorer, et pour que nous soyons heureux et en bonne santé, les différents Il faut que les composants coexistent en harmonie. Et ce n’est pas facile. Quand ces comparaisons sont constamment menacées par nos modes de vie. Une vie bien remplie, le stress, l’inactivité, une mauvaise alimentation, etc., les choses sont préjudiciables.